Une lettre, père Azan ? Il était tout fier que ça vînt de Paris, ce brave père Azan… Paris, 1762-79. On a aussi de lui un Dictionnaire des graveurs, 1767, 3 vol. Il est de même tout à fait improbable qu’en donnant plus tard à Lenz un autographe, tracé sur la première feuille de la Valse mélancolique, Chopin si peu prodigue de lettres et même de billets, ait dit qu’il ne s’abstenait d’écrire, que « parce que Mme Sand écrivait si bien, qu’on n’avait pas le droit d’écrire… Pour que tout se fasse bien, il faut tout faire avec ordre. Quand cette maudite lettre arriva, j’avais déjà choisi mon cagnard (abri) entre deux roches, et je rêvais de rester là tout le jour, comme un lézard, à boire de la lumière, en écoutant chanter les pins… Ses bras sont les seules armes qu’il ait à son service, et il vit en pleine sécurité : il ne craint ni les malfaiteurs de son pays, ni les armées européennes, dont l’effectif se monte à deux ou trois millions d’hommes. Et le bon pasteur M. Martin, heureux et plein d’allégresse, a rêvé l’autre nuit que, suivi de tout son troupeau, il gravissait, en resplendissante procession, au milieu des cierges allumés, d’un nuage d’encens qui embaumait et des enfants de chœur qui chantaient Te Deum, le chemin éclairé de la cité de Dieu

Puis c’est un amas de bras, de jambes, de têtes cassés, dont l’effigie en cire témoigne là de la reconnaissance des blessés ramenés tout à coup à la vie par l’intercession de la Vierge. Enserrée dans la gracieuse ceinture que lui forment le Rhône et la Saône, la ville déploie son vaste labyrinthe de rues étroites, hautes et tellement pressées qu’à cette distance on ne distingue point les intervalles et qu’on dirait un amas confus de maisons. On y remarque trois belles rues (Balbi, Nuova, Nuovissima), deux belles places, le pont Carignan, de superbes églises (St-Laurent, qui est l’église métropolitaine, l’Annonciade, St-Ambroise) ; la banque St-George (dont les règlements remontent à 1407) ; des aqueducs, un grand arsenal naval et militaire, appelé la Darse, de vastes chantiers, dits de la Foce; musée d’histoire naturelle, trois bibliothèques, jardins botaniques, écoles diverses, 2 colléges dont un de Jésuites; 5 hôpitaux et hospices, 3 théâtres. Le Sentier des Anges aboutit aux rues étroites et sombres du quartier Saint-Jean, si l’on peut donner le nom de rues à de pareils alignements de maisons ; et d’abord on se trouve dans une ruelle appelée la Montée des Capucins. Pour se rendre à Fourvières, on traverse le quartier Saint-Jean, sombre comme tous les quartiers de Lyon, plus sombre peut-être

Le nez séduit par sa belle complicité aromatique aux notes de fruits rouges. Face aux nombreuses recommandations sanitaires récentes qui se sont transformées rapidement en injonctions de non-consommation de lait cru liquide ou solide (fromages) pour les populations dites « sensibles », scientifiques et spécialistes s’interrogent sur les objectifs de santé publique avec de telles mesures. Le jeune homme le remercia, les larmes aux yeux. Tu as pour avoué Derville, un homme en qui nous avons toute confiance ; il a les secrets de bien des familles, il peut bien porter celui-là. L’idée fixe de voir son Florent avocat, bien posé dans la ville, finissait par la rendre dure, avare, impitoyable pour elle-même et pour les autres. Non-seulement Miller, mais sa femme et sa fille, comptaient aller au petit Nest, comme s’appelait le hameau, par opposition au Nest qui était le nom communément donné à notre maison. Le petit Quenu allait avec des culottes percées, des blouses dont les manches s’effiloquaient ; il ne se servait jamais à table, il attendait que sa mère lui eût coupé sa part de pain. La mère payait déjà très-difficilement les mois de collège de son aîné, Florent, l’enfant du premier lit. Florent, désespéré, cessait la leçon, le consolait, lui promettait des vacances indéfinies

Il mourut en 1679. – Son fils, Pierre de La Th., 1656-1731, fut élève de Molière et joua les valets et les comiques avec succès pendant plus de 47 ans. Sa philosophie, qui l’a occupé principalement pendant toute sa vie, n’a guère contribué à sa gloire et les philosophes de profession, qui ne la trouvaient pas toujours conforme à leurs habitudes d’esprit, n’en ont généralement parlé qu’avec une certaine affectation de supériorité. Il obtint en 1660 une chaire de grec à Cambridge ; en 1662, il fut chargé d’une chaire de mathématiques et eut la gloire de compter Newton au nombre de ses élèves ; il fut reçu en 1662 à la Société royale. Espérit lui venait en aide et ramenait Damianet près de lui ; il se tenait debout derrière la tante, une baguette à la main. Si d’aucuns peuvent le considérer comme un illuminé, l’homme a débuté ses recherches après la lecture d’un ouvrage de 1967 de Jean Rebière, La Truffe noire de Bagnoli noire du Périgord, dans lequel il s’interroge sur le fait que les chênes producteurs se situent sur des zones réactives à la baguette de sourcier. On lui doit aussi l’Art du violon, 1835, ouvrage qui a puissamment contribué aux progrès de l’art. Dans l’exécution, Baillot se faisait remarquer par un goût pur et sévère plutôt que par l’habileté à vaincre les difficultés