La langue de ces temps antiques n’était pas ce qu’un vain peuple pense, un jargon rauque, sourd, inflexible, barbare, sortant comme un hoquet du dur gosier des gens du Nord ; et dans sa rude beauté la Chanson de Roland dépasse de mille coudées Boileau et son Lutrin, Voltaire et sa Henriade, Saint-Lambert et ses Saisons, Delille et ses Jardins, et deux cents années de rapsodies en douze et quelquefois vingt-quatre chants, « Iliades » sans souffle, sans vertu, sans élan, sans chaleur, dont on ne méprisera jamais assez le fabuleux néant. Le père bénédictin dont je savais si bien le nom, et que j’ai oublié, n’avait donc évité des coups de pied dans le ventre que pour tomber dans l’infamie de perdre un procès avec lequel il tuait le temps et le chevalier. Je trouve de piquans détails sur ces luttes héroï-comiques dans deux lettres de Montesquieu qui n’auraient point déparé l’excellente introduction de la Correspondance inédite : « Le chevalier d’Aydie m’a marqué qu’il avait gagné son procès
Parmi les truffes noires d’hiver, il en est deux comestibles par excellence que l’on a longtemps confondues sous le nom de tuber cibarium : l’une est appelée mélanospore, à graines noires, à cause de la couleur foncée de ses germes, d’où résulte la teinte très obscure noir rougeâtre ou violacée de la chair : la marbrure des veines aériennes s’y dessine sur la coupe en lignes fines et serrées, bordées elles-mêmes d’une ligne roussâtre, transparente par défaut de spores. La vraie clé est de garder les Truffes noires d’été fraîches au sec; l’humidité favorisera la pourriture et les fera se détériorer rapidement. Ça ne marche pas au moment où il fait le délit (puisqu’il est persuadé de pas se faire choper. Mais nous sommes tous là a 10h au parking du Qu’Es Aquo, nous préparons les charges et voici la caravanes qui se met en marche. Nous commençons les rechercher mais rien, aucun signal sur les trois appareil que nous dispossons., ni liaison radio ! Nous nous retrouvons tout les trois après le S9, Isabelle abandonne son bi 4, Damien et moi-même, nous continuons notre progression avec un relais chacun pour la poursuite de ce beau S10
1749 fém. « terrain sur lequel on trouve des truffes » (Nouv. Démonstration de cavage de la truffe avec notre partenaire Espenon Truffes (de mi-décembre à mi-février). Qu’en est-il alors de la truffe du Périgord ? Avec ce salon, on cherche aussi à démystifier la truffe et montrer qu’elle est accessible à tous », explique Régis Mesnier, président du syndicat des trufficulteurs de Charente. VALPERGA DI CALUSO (Thomas), savant italien, né à Turin en 1737, m. en 1815, se fit oratorien après avoir été marin, voyagea beaucoup, acquit de profondes connaissances dans les mathématiques et les langues orientales, professa la littérature grecque et orientale à l’Université de Turin, fut nommé directeur de l’observatoire de cette ville, président et directeur d’une des classes de l’Académie des sciences et des lettres, et correspondant de l’Institut de France. TORELLI (Lélio), en latin Taurellus, jurisconsulte, né en 1489 à Fano, m. en 1576, fut podestat de Fossombrone et 1er magistrat de Fano, chassa de cette ville Scanderbeg Comnène, qui en avait reçu la souveraineté du Saint-Siége, reçut néanmoins de Clément VII le gouvernement de Bénévent et finit par s’établir à Florence, où Cosme I le nomma successivement auditeur de la Rote, podestat, chancelier, 1er secrétaire du grand-duc
Il leur prescrit à son gré le repos et le mouvement, marque l’élément et le pays où ils pourront faire la guerre, et donne les bornes qu’il lui plaît à leurs jalousies, à leur ambition et à leur ressentiment. Il savait surtout gré à cette noble nièce du bailli de Froullay de mêler quelque gaîté et un peu d’indulgence philosophique à la pratique de toutes les vertus. Peu apprécié par la presse, qui fut rigoureuse, accueilli froidement par le public, qui ne le comprit pas, le livre n’eut pas de retentissement et Flaubert en fut irrité. Mais peut-être en avait-on déjà obtenu d’autres variétés par des semis, comme le conseillait déjà Parmentier en 1786. Toujours est-il que cet ami de la Pomme de terre, dans son rapport à la Société royale d’Agriculture sur les mémoires de M. de Chancey, disait en 1787 à propos des différentes espèces de Pommes de terre, et par ce mot espèces il faut entendre variétés : « Quelques auteurs les avaient fait monter à soixante ; mais dans ce nombre ils comptent beaucoup de variétés, » c’est-à-dire de variations
» Au surplus était-il certain que, devenus Anglais, les fermiers du Transvaal n’eussent plus rien à craindre, qu’ils pussent dormir sur leurs deux oreilles, que l’Angleterre s’entendît mieux qu’eux à tenir en respect des voisins incommodes, égorgeurs et pillards? D’abord, elle envoya de Nohant ces deux lettres à Leroux en lui demandant ce qu’elle devait faire, puis, lorsqu’elle rentra elle-même à Paris, elle pria Leroux de lui expliquer de vive voix toute l’affaire. » C’est Philippe de Sivry, Seigneur de Walhain et Préfet de la ville de Mons, en Hainaut (Belgique), qui m’a le premier fait connaître cette plante : il m’en envoya d’abord deux tubercules avec un fruit à Vienne, en Autriche, au commencement de l’année 1588, puis l’année suivante le dessin colorié d’un rameau fleuri. La bonhomie de sir Arthur n’avait pas produit de plus beaux résultats que le silence de sir Theophilus, on en était encore aux vaches maigres, les vaches grasses se faisaient attendre, on commençait à n’y plus croire, et c’est ainsi que par degrés tout le monde se mettait d’accord pour faire grise mine à l’Angleterre